Et si, à force de jouer avec les forces de la Nature, quelque chose avait mal tourné ?
Et si la composition de l’atmosphère s’était altérée au niveau atomique ?
Et si toute vibration sonore, au lieu de se propager dans l’air, était absorbée et transformée en chaleur ?
Alors, la moindre parole vous brûlerait la gorge, un livre qui tombe allumerait un incendie.
Un cauchemar ? Et pourtant, si une partie des habitants de ce monde met tout en œuvre pour « réparer » l’atmosphère, d’autres tiennent à ce que les choses restent en l’état…
Claude Ecken signe ici le premier volet d’un dyptique sur un thème que n’auraient pas renié J.G. Ballard ou Serge Brussolo.