Les tempêtes récentes, le fait que les dix dernières années ont été les plus chaudes depuis plusieurs siècles, le fait que le phénomène montre tous les signes indiscutables d’une accélération inquiétante, rien ne semble y faire, ou ne provoque de réactions à la mesure du phénomène.

Souhaitons que le scénario du cauchemar, illustré par la nouvelle de SF Nyos 2030, ne devienne jamais vrai. Et ne désespérons pas : des solutions existent, dont certaines sont abordées à la fin de ce dossier.

Prenons conscience du problème, et agissons pour le futur avant qu’il ne soit trop tard.

Le pire est arrivé : les gisements d’hydrates de méthane ont massivement dégazé dans l’atmosphère. La chaleur piégée par l’effet de serre est telle que les océans ont commencé à s’évaporer.

Le calvaire des derniers humains sur une planète d’où toute vie est sur le point de disparaître.

Une synthèse des changements climatiques survenus dans le passé de notre Terre, leur lien avec le taux de gaz carbonique. Ce qu’on peut en déduire sur le réchauffement actuel… si on ne tient compte que du CO₂.

La plupart des prévisionnistes oublient de prendre en compte le risque présenté par les milliards de tonnes d’hydrates de méthane retenus au fond de l’Arctique, du Pacifique Nord et dans le pergélisol de la Sibérie…

Or, il en faudrait peu pour que ce gaz, beaucoup plus « efficace » que le CO₂ vis-à-vis de l’effet de serre, commence à se libérer dans l’atmosphère, amplifiant le réchauffement jusqu’à un niveau peut-être catastrophique.

Des faits, des preuves scientifiques, une synthèse… et des remèdes.